La plantation kaloegreen est faite de nombreuses perfections visibles à l’œil nu dès la surface de ces terres des Pangalanes offrant un spectacle presque perpétuel où les horizons vallonnés se frôlent et s’étendent majestueusement, un lieu où la terre et le soleil se touchent en rougissant et la Voie lactée comme invitée, s’installe pour nous signaler par sa simple présence que nous faisons partie d’un ensemble bien plus grand encore…Baissant nos regards sur d’autres instants fragiles subtilement dissimulés sous des amas de branches, de
Tel un battement de cils, un battement d’ailes, nos pensées, nos rêves se propagent comme empruntés par les vents se faufilant entre les pierres des déserts, l’eau des rivières ou ondulant sur les plus hauts sommets des montagnes silencieuses avant de dévaler par les plaines et d’inonder ces grandes villes, autrefois d’anciennes citées, chargées et imprégnées de ce qui traverse et résonne en chacun d’entre nous comme des morceaux de joies ou ces chemins d’anciennes peines. L’attitude K est une sorte d’un
Qu’a t-il donc fait de si grave pour mériter une telle intervention ?De quels crimes l’accuse t-on pour subir une fin aussi difficile ?À quelle essence appartenait-il ? Autant de questions pour ces arbres centenaires qui doivent se plier aux lois des plus forts et tombent un à un remplis d’incompréhensions faute probablement de conversations…! Ces arbres, dotés d’une conscience, communiquent entre eux … Ils se dressent avec fierté, devant nous, inoffensifs et dépourvus d’ego ne cherchant nullement à rivaliser ou à se mesurer avec quelques âmes que
C’est à travers ces immenses plaines ou derrière les gigantesques feux de brousse que nous devons poser nos regards… dans les bruits de ruissellements parfois enfouis, ou étendue presque immobile reflétant ces bouts de ciel en mouvement comme les traces d’un passage, peu être le nôtre…À chaque manque de son passage, les terres se fendent et les âmes réclament l’aide de leurs dieux, à chaque grande précipitation, la désolation résonne d’images difficiles.À Madagascar, trop souvent boueuse ou polluée comme une insulte, l’eau transporte impuissante nos